C’est une question forte, posée par Jonas Salk, l’inventeur du vaccin contre la polio, avec cette phrase mémorable :
« Notre plus grande responsabilité est d’être de bons ancêtres. »
Un rappel essentiel : nos choix d’aujourd’hui construisent – ou détruisent – le monde de demain.
Le numérique : un héritage invisible mais bien réel
Dans un monde où le numérique est omniprésent mais souvent invisible, il est facile d’oublier qu’il repose sur des ressources bien concrètes : extraction de matériaux rares, consommation énergétique massive, déchets électroniques…
Alors, que transmettons-nous aux générations futures ?
- Des outils qui favorisent un avenir durable ?
- Ou des dettes écologiques et sociales qu’elles devront payer à notre place ?
Responsabilité numérique : penser au-delà du code
Être un bon ancêtre dans l’ère du numérique, c’est bien plus que coder proprement ou respecter une deadline. Cela implique de concevoir des solutions pérennes, pensées pour réduire leur impact sur l’environnement et maximiser leur utilité pour la société.
Une question clé à se poser :
« Mes petits-enfants seront-ils fiers de ce que je laisse derrière moi ? »
Un numérique pour demain
La responsabilité numérique est un levier puissant pour bâtir un avenir plus durable. À chaque projet, chaque ligne de code, chaque choix technologique, nous avons l’opportunité de :
- Réduire l’empreinte écologique de nos outils.
- Créer des solutions inclusives et accessibles.
- Prioriser l’impact positif sur le long terme plutôt que la course effrénée aux nouvelles fonctionnalités.
Être de bons ancêtres, c’est agir aujourd’hui pour un numérique qui respecte autant les ressources de la planète que les générations à venir.
Et vous, que créez-vous aujourd’hui pour demain ?